Loukas (Luc)
- Loukas – Chapitre 1 8:12
- Loukas – Chapitre 2 5:41
- Loukas – Chapitre 3 4:43
- Loukas – Chapitre 4 5:25
- Loukas – Chapitre 5 5:11
- Loukas – Chapitre 6 6:21
- Loukas – Chapitre 7 6:33
- Loukas – Chapitre 8 7:39
- Loukas – Chapitre 9 7:57
- Loukas – Chapitre 10 5:24
- Loukas – Chapitre 11 7:05
- Loukas – Chapitre 12 7:09
- Loukas – Chapitre 13 4:37
- Loukas – Chapitre 14 4:19
- Loukas – Chapitre 15 3:46
- Loukas – Chapitre 16 4:04
- Loukas – Chapitre 17 4:19
- Loukas – Chapitre 18 5:06
- Loukas – Chapitre 19 5:22
- Loukas – Chapitre 20 5:07
- Loukas – Chapitre 21 4:11
- Loukas – Chapitre 22 7:49
- Loukas – Chapitre 23 6:24
- Loukas – Chapitre 24 5:35
Signification : Qui donne la lumière
Bible de Yéhoshoua Ha Mashiah
Auteur : Loukas (Luc)
Thème : Yéhoshoua, le Fils d’humain
Date de rédaction : Env. 60 ap. J.-C.
D’origine grecque, Loukas (Luc) fut l’auteur de l’Évangile éponyme et du livre des « Actes des apôtres ». Celui que Paulos (Paul) appelait le « médecin bien-aimé », et qui fut son compagnon d’œuvre, avait entrepris des investigations visant à narrer avec exactitude la vie terrestre de Yéhoshoua ha Mashiah (Jésus-Christ) dont il était devenu le disciple, probablement à la suite d’une prédication de Paulos. Adressés initialement à Theophilos (Théophile), Loukas était loin de penser que ses écrits constitueraient avec le temps une véritable richesse pour l’Assemblée et pour le monde.
L’évangile de Loukas présente l’humanité parfaite de Yéhoshoua, sa compassion et sa miséricorde à l’égard des plus faibles. Rédigé avec rigueur et soin, il retrace le parcours du Fils d’humain, de sa naissance à son adolescence, puis de sa mort à sa résurrection, et enfin son ascension. Il souligne aussi sa vie de prière et son fardeau pour le salut de l’humanité. Par ailleurs, il met en exergue la manière dont les femmes ont assisté Yéhoshoua par leurs biens durant son service.
Fruit de recherches minutieuses, le récit de Loukas présente certaines similitudes avec ceux de Matthaios (Matthieu) et de Markos (Marc). Il est toutefois le seul à relater la célèbre parabole du fils prodigue, profonde représentation de l’amour du Père.